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huile : 135 x 158 cms " l'automne
"
On ne résiste pas à l'invitation au voyage des saisons
qui patiemment passent et repassent, la terre demeure
chaque fois différente, à chaque fois renouvelée.
Le souvenir des saisons passées, des rêveries de la terre
a se transformer. Oser le rêve, l'imaginaire, l'impossible.
Tout vient a commencer par le vert printemps, la naissance, la renaissance
de la nature de l'enfance et de son inépuisable fécondité, de ses myriades
de couleurs a nous réveiller du sommeil de la mort de l'hiver .
Vient le jaune été, la puissance de ses soleils, de ses feux qui nous
réchauffent, sa plénitude, la vitalité de la jeunesse dans son insatiable énergie.
Arrive le rouge automne et la lente décadence de ses énergies, le temps des regrets,
des beautés passées,l'air est léger dans les lueurs de l'aube, le soleil descend à
l'horizon, la terre s'endort et entrouvre doucement les portes
du blanc hiver, de son obscur froideur, la nature se repose, la période de tous les
cahot et de la mort nécessaire a faire renaître des ses cendres un autre cycle,
un autre commencement.
huile
110 x 90 cms " un temps pour naître "
28 tableaux comme un cycle immuable, éternel.
Les 28 temps fondamentaux qui découpent la vie
dans ce qu'elle a de plus essentielle.
Derrière ce regard qui nous observe, au-delà
des joies de l'esprit, de la sagesse et de l'intelligence
il y a tout ce qui est caché derrière nos apparences.
Si la vie est insensée, il nous reste à nous saisir
du jour présent et à profiter de ses plaisirs.
linogravure 93 x 65 cms Le miroir du bien
linogravure 93 x 65 cms le miroir du mal
linogravure 60 x 42 cms joyeuse
Une princesse se transforme en prince
les 7 nains de l'histoire devenus 7 naines,
une révolution, un ensemble fini, clos mais
qui ouvre d'autres portes à l'imagination,
d'autres univers. Dormeuse , grincheuse,
joyeuse , maîtresse , rhinite , simplette et timide
elles seraient le sens d'un changement et d'un
renouvellement accompli, positif, une perfection
dynamique, elles réinventent l'histoire, elles se
mettent à rêver au delà du miroir.
photo 60 x 40 cms retrouver le sens sinon l'espoir
Ismérie
photo 60 x 40 cms un instant continu pour l'éternité
Marianne
photo 60 x 40 cms histoire passée
Justine
Le regard nu vide détaché silencieux
dans le vide dans la plénitude et le silence
elles demeurent au centre
un point immobile
dans l'absolu du réel.
Linogravure + eau-forte 53 x 40 cms "Glisser"
Si le miroir est souvent associé à la vérité
S'il me renvoie l'image fidèle de ce que je suis
il reflète aussi le côté caché de ma personnalité,
de mes illusions, de mes mensonges. Il y a ce que je vois,
ce que je ne vois pas et ce que je me refuse à voir.
Au delà de connaître à quoi je ressemble, le miroir est une
véritable porte, une limite vers un autre monde, une autre réalité
que l'apparence physique, une formidable opportunité
pour me voir tel que je suis.
J'ai choisi 12 poèmes, le nombre des cycles parfaits
immuables de la nature et de la vie, ils sont l'incarnation
du temps qui passe, des saisons de la vie et de la mort.
huile 142 x 122 cms l'annonce de la tempête
Les matières picturales recouvrent la totalité du tableau,
en transparences, coulées, effacements ou empâtements.
La peinture à l'huile, maîtresse de toutes, prédomine,
puis apparaissent les pigments,les résines, les feuilles d'or
ou d'argent ainsi que les couleurs de terre, de feu,
de pierre et de bleu.
On distingue des structures abstraites avec de vastes
cercles centraux, des spirales dynamiques, de puissantes
trajectoires gestuelles, des strates de matières sauvages,
des empreintes et des marques vigoureuses
ou à peine perceptibles ou encore des myriades
de traces spontanées.
S'installe ensuite le travail du dessin
avec des volumes géométriques simples ou complexes,
d'imposantes voûtes, des architectures morcelées
ou bien d'authentiques frises au graphisme trés soigné,
longues bandes souples continues ou discontinues
qui circulent librement tantôt à l'intérieur,
tantôt à la périphérie, tantôt sur le cadre
même du tableau.
huile 90 x 60 cms la tour de babel
Le regard glisse d'abord à la surface et pénètre peu à peu à l'intérieur des
labyrinthes. Il suffit de savoir prendre le temps d'observer attentivement
ces portraits, nobles bustes empreints d'une douce gravité et dont
les yeux, miroirs de l'âme, nous invitent à vagabonder le long
des territoires d'une rêverie aux couleurs raffinées.
Des perspectives contradictoires s'enchevêtrent dans la partie
inférieure du tableau tandis que des éléments d'architecture
tels que des voûtes, des escaliers ou des colonnes s'élancent
dans des cieux d'apparence paisible.
Un capharnaüm d'objets et d'éléments insolites s'amoncellent
çà et là, au gré de la fantaisie.
Des corps hybrides, morcelés ou statufiés, veillent
sur ces jardins visionnaires. La végétation parait envahissante et
sombre alors que fleurs et fruits luisent comme des bijoux.
